01 marzo 2007

No hay grito más doloroso que el susurro de la conciencia intranquila

En la duda en la cual que me has dejado te pienso, te extraño, y en ocasiones te odio. Tomaste mi mano, cerré mis ojos y caminé contigo un camino de sueños, ilusión y ternura. Pero no imaginé ni me preparé para este momento.
El momento del adiós.

La risa y la tristeza son las dos caras de una misma moneda, a veces inclusive pueden ser lo mismo. Se pueden mezclar. A veces lloramos de risa, reímos de pena, en fin, los sentimientos y sensaciones son así.

A veces hay que decir adios para tener la esperanza de volver a reencontrar la felicidad.

1 comentario:

Anónimo dijo...

Mais... chanter,
Rêver, rire, passer, être seul, être libre,
Avoir l'oeil qui regarde bien, la voix qui vibre,
Mettre, quand il vous plaît, son feutre de travers,
Pour un oui, pour un non, se battre, -ou faire un vers !
Travailler sans souci de gloire ou de fortune,
A tel voyage, auquel on pense, dans la lune !
N'écrire jamais rien qui de soi ne sortît,
Et modeste d'ailleurs, se dire : mon petit,
Sois satisfait des fleurs, des fruits, même des feuilles,
Si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles !
Puis, s'il advient d'un peu triompher, par hasard,
Ne pas être obligé d'en rien rendre à César,
Vis-à-vis de soi-même en garder le mérite,
Bref, dédaignant d'être le lierre parasite,
Lors même qu'on n'est pas le chêne ou le tilleul,
Ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul !"
Santi, extraido de "Cyrano de Bergerac"